Lune, en dépôt au refuge animalier de Brax

Le Refuge animalier de Brax près d'Agen (47) est une association indépendante de toutes associations animales dont la présidente est aussi déléguée-enquêtrice bénévole de la S.P.A de Paris.

 

L'antenne la plus proche de la S.P.A. de Paris (Société Protectrice des Animaux)  se situe à Mont-de Marsan. 

 

En tant que déléguée-enquêtrice bénévole auprès de la S.P.A. de Paris, Mme Salane C. présidente du Refuge animalier de Brax près d'Agen (47) a déposé plainte, dans le cadre de contrôles suite à dénonciation de maltraitance.

 

Le refuge animalier de Brax garde en dépôt le jeune chiot baptisé Lune par une de nos bénévoles, en attendant la décision de la S.P.A. de Paris.

 

La cruauté envers un animal :

Le propriétaire d'un animal doit lui assurer des conditions de vie compatibles avec ses besoins. 

La cruauté, ou maltraitance envers un animal, est le fait de faire subir à un animal domestique, apprivoisé ou tenu en captivité, un acte visant à le faire souffrir ; que ce soit par le biais de coups, de blessures ou simplement de négligence.

 

Des sanctions pénales sont prévues en cas de mauvais traitements.

Ce que dit la loi...

 

Les médias en parlent...

Justice : un homme condamné à six mois de prison ferme à Agen pour maltraitance animale
Justice : un homme condamné à six mois de prison ferme à Agen pour maltraitance animale

 

JT 19/20 France 3 Aquitaine du Vendredi 07 août 2015

 

Ce vendredi matin, Mme Salane C. a accueillit les journalistes de France 3 Aquitaine pour une interview au sujet de la maltraitance animale.

 

 

 

 

Deux cas de maltraitance ont été évoqués :

- la maltraitance physique, illustrée par le cas de Lune

- la maltraitance passive :  Attila de los hijos de la luna, Dogue argentin retirée suite à enquête est en soins en famille d'accueil chez Aurore B., bénévole responsable vétérinaire.

 

Extrait de l'article
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Agen : six mois de prison ferme pour l'homme qui avait maltraité son chiot


Interpellé lundi, alors qu'il faisait tourner le chien en l’air au bout de sa laisse, le trentenaire a été jugé ce mercredi. Outre les maltraitances, il devait répondre de plusieurs faits dont le refus de se soumettre à un contrôle d'alcoolémie

Six mois de prison ferme sans mandat de dépôt. Voilà la peine à laquelle a été condamnée l'Agenais de 36 ans, jugé ce mercredi après-midi par le tribunal correctionnel d'Agen. L'homme, déjà condamné à 12 reprises, devait répondre de plusieurs faits, parmi lesquels maltraitance envers un animal, mais aussi conduite en état d'ivresse et refus de se soumettre à un contrôle d'alcoolémie. 


Lundi, peu après minuit, dans la rue Blaise-de-Monluc, les hurlements d'un chiot ont attiré de nombreux riverains aux fenêtres et le commissariat a reçu quantité d'appels. D'après les signalements, le trentenaire faisait tourner un chiot en l'air au bout de sa laisse et ne lui épargnait pas des coups de pied.

Des faits que l'Agenais n'a pu nier puisqu'il les a reproduits devant la patrouille de police venue procéder à son contrôle.

Les policiers, qui ont bichonné l'animal jusqu'à mardi soir, avant que la SPA ne vienne le chercher, l'ont aussi conduit chez un vétérinaire qui a estimé son âge à moins de trois mois et constaté qu'il souffrait du cou et avait une patte fêlée.

L'homme, quant à lui, a été placé en cellule de dégrisement après avoir refusé de se soumettre au dépistage d'alcoolémie. Il a finalement accepté de souffler mardi matin, à 10 heures, et avait encore 0,45 mg par litre d'air expiré… Sa garde à vue a été prolongée.

Ce mercredi, outre la peine de prison, le tribunal a prononcé la suspension de son permis de conduire, la confiscation de son véhicule et l'interdiction de détenir un chien pendant cinq ans. L'Agenais devra également verser 800 euros à la SPA ainsi que 300 euros à une association s'étant portée partie civile.


Publié le 05/08/2015 à 03h43 , modifié le 06/08/2015 à 08h15 par J. P.

 

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Maltraité par son maître, un chiot est récupéré in extremis


Les policiers du commissariat d'Agen ont certainement sauvé la vie d'un chiot en interpellant son maître la nuit dernière alors qu'il maltraitait le jeune animal. L'individu, en état d'ébriété, a réitéré ses gestes sous les yeux des fonctionnaires.

C'est une triste histoire, mais que les lecteurs soient de suite rassurés, elle se termine plutôt bien. On parle souvent d'abandon d'animaux, particulièrement en cette période de grandes vacances. On évoque un peu moins les cas de maltraitance. Il y en aurait de nombreux. Mais ils sont rarement révélés, parce que se déroulant souvent au sein d'un foyer, caché. Dans la nuit de lundi à mardi, rue Blaise-de-Monluc à Montanou, plusieurs riverains ont été tellement choqués par ce qu'ils ont vu et entendu qu'ils ont prévenu les secours. Les policiers du commissariat d'Agen sont alors intervenus. Il était minuit et demie. Plusieurs personnes leur avaient indiqué qu'un individu faisait «tourner son chien dans le vide au bout de sa laisse».

La patrouille envoyée sur place trouve l'homme au volant d'un véhicule, le jeune chien est avec lui. Les policiers demandent à l'individu de descendre de voiture. Ils examinent le chiot qui, lorsqu'il est touché au niveau du cou, hurle de douleur. L'homme récupère alors le chiot et réitère son geste : il fait tourner le chiot devant les policiers. Mais cette fois, le supplice ne dure pas. Les agents interviennent.

L'individu est interpellé pour maltraitance à animal et conduit au commissariat. Les policiers n'ont pas pu procéder à un test d'alcoolémie durant la nuit. Ce n'est que vers 10 heures hier que l'homme a soufflé dans un éthylotest. Il était encore à 1 gramme.

Il s'agit d'un Agenais de 36 ans, connu des services de police pour différents méfaits. Après avoir été entendu par les policiers dans le cadre d'une garde à vue, il sera présenté aux magistrats cet après-midi. Il risque une forte amende (lire ci-dessous). Le chiot lui a bien sûr été retiré. Après avoir reçu les premiers soins par un vétérinaire et une bonne dose de réconfort dans les couloirs du commissariat, il a été confié à la SPA qui va se charger de lui trouver une famille aimante (Si le cœur vous en dit…). D'après les premières constatations, c'est un jeune chiot doux et affectueux. Qui a échappé de justesse au triste sort que semblait lui réserver un maître bien peu scrupuleux.

C.D.V.